photo de Frank Alix Au fond anciens de L'institut supérieur des arts de Toulouse (isdaT) lors du DNSEP en juillet 2023 j'ai présenter plusieurs projets, ici un aperçut des "lettre de la religieuse portugaise" une édition d'Henri matisse. Suite à la lecture de ces lettres j'en ai proposer une réécriture sous formes de petits poulet (des billets doux du moyen âge) augmenter de lino-gravures. Cette réécriture s'intéresse à l'écriture inclusive.
photo de Frank Alix lors du DNSEP 2023 écoute d'un texte s'intitulant "les cailloux" : Les cailloux C’est l’histoire d’un cailloux qui roule, qui roule, qui roule, tout roule pour un cailloux. Plus il roule plus il est rond et plus il est rond plus il roule. Nous les faisons rouler dans un sens et la terre les fait rouler dans l’autre. Nous nous érigeons sur des cailloux et depuis toujours nous y bâtissons et nous nous y blottissons entre 4 mur de pierre. Avec nos mains dessus nos tête nous avons batit des murettes comme le chantait jean ferrat et des generation plus tard les amoureux.se de ce pays qui est le miens le chante encore. Il y’a les a les cailloux de l’infiniment petit comme du sable et ceux de l’infiniment grand comme nos montagnes , ils forment ainsi nos paysages et nos quotidiens. Et c’est quand on est perdu qu’il nous faut hurler a en avoir la voix rocailleuse pour faire ricochet nos messages contre les parois des vallées, qu’elle transmettent l’échos de nos histoires. Qu’elle soit notre mémoire. L’Histoire tout entière se tiens dans un cailloux.
photo d'installation sur un piano de la vidéo d'une performance. Suite à la rédaction d’un article dans la revue du GREP autour de la thématique «écologie et esprit critique» en co-rédaction avec 5 autre étudiant.e.s de filières différentes nous avons présenter lors d’un colloque le fruit de nos recherches. Lors de ce colloque, nous avons décidé d’ouvrir notre présentation par une performance reprenant le 4.15 de John Cage revisiter en 2.15 écologie. Nous souhaitions par ce biais que le public soit conscient de sa présence, ce fut aussi une invitation à garder l’esprit critique face à ce que nous allions en suite leur exposer.
Lettres de la religieuses portugaise réédition augmenté de dessin de Matisse, édition présenté lors du DNSEP en juin 2023 aux fonds anciens des beaux-arts de Toulouse
Suite à la découverte aux fonds anciens de l’isdaT des lettres de la religieuses portugaise, j’ai eu envie de partager cette lecture en proposant une réécriture. Ce texte écrit en vieux français du 17e siècle est devenue dans la réécriture un texte plein de néologisme inclusif. L’édition des fonds anciens était une réédition par Matisse qui avait orné et ponctuer les lettres de portrait lithographié, dans ma réécriture, j’ai ponctué chaque lettre d’un portrait en linogravure représentant des personnages androgynes. Cette micro-édition est plié en petits poulets, ce qui était au moyen-âge la forme donner aux billets galants.
Lors du workshop à la chapelle saint jacques (centre d'art contemporain de St Gaudens) avec le groupe de recherche Genre2030 j'ai réaliser cette broderie de 2mètre de diamètre. Cette broderie représente une vue de l'usine à papier emblématique de la ville tant visuelle qu'odorante elle est aujourd'hui un élément centrale, cette broderie s'intéresse aux paysages, à leurs évolutions et à la mémoire de ces éléments de nos quotidiens. photo de Frank Alix
Texte autour de la frontière poreuse entre le désir de peinture et celui d’écriture. Mes recherches on souvent pour objet la transmission, l’envie de partager et de raconter, la peinture peut-elle raconter aussi bien que les mots, peut-elle les transcender ? "J’ai échangé les lettres, les sons et la logique contre la couleur la surface, la texture et les pinceaux. Comment parler ? J’ai perdu mes mots, ma langue s’est engourdie, certaines phrases me sortent par les yeux ne pouvant plus se glisser entre mes lèvres.Ma langue est lourde et mon langage froissé et maladroit. Autrefois, je pouvais lui donner vie et forme en le pétrissant contre mon palais, collé à mes dents et, dans un souffle, lui donner sens. Mais je ne sais pas parler. Parler ? Je ne sais plus. J’écris ce que je vais dire, je lis ce que je voudrais écrire, j’écris ce que je voudrais peindre et peins ce qui ne peut être dit. Tout est à peindre,car je ne sais pas parler et tout juste lirece que j’écris du bout des doigts. La peinture, vous touche-t-elle ? Mes mots, le peuvent-ils ?"
Construction réalisé par le public et le jury lors du DNSEP, un sceau de 250 kalpa pyrogravés étaient à disposition. Chaque kapla avait un morceau de paysage en les superposant, juxtaposant empilant; chacun.e est libre de créer un espace, un univers et de le faire évoluer. Le projet est une collaboration entre le projet proposé et l'activation par le public. Recherche autour des paysages et de l'implication du public dans la découverte d'objet artistique. photo Amelie Favro
Photo prise après le passage du diplôme montrant les assemblages réalisés par le public et le jurry. Photo Amelie Favro
Lors de ce diplôme je me suis intéressé au langage, au partage et à la transmission. Ayant choisit le lieux de la bibliothèque des fonds ancien pour ce moment que ma propre bibliographie prennes sa place dans le mobilier de ce lieux m'a semblé important. Ainsi le public fut accueillis par une performance et puis par cette bibliographie, afin de partager mon intérêt pour tout ces livre et donner envie de s'en saisir une série de marques pages avec des extraits des livre était mis à disposition. Photo Amelie Favro
Marques page mis à disposition et invitant à retrouver le livre dont la phrase qu'il porte est composé
Confection de gâteau de fortune que le public peut manger et découvrir à l’intérieur la phrase « Il y a des choses qui ne peuvent être lu qu’avec les yeux jamais avec les lèvres ». Par cet amuse-bouche j’invite le public à la lecture et à l’écoute , je joue aussi avec la nourriture comme élément de séduction, un rapport presque charnel. Mes mots se déposent sur vos lèvres d’une certaine façon. J’essaie de toucher le public par les sens en l’invitant ainsi à rentrer dans mon univers poétique, une invitation autant qu’un souhait.